Mon sundae à la crème glacée à la neige vanillée et mon sucre à la crème à la caramilk raté ou quand le besoin crée l'organe: c'est-à-dire deux restes issus de la surabondance des fêtes s'unissent pour composer un troisième dessert à la mode de Marie. C'est ce qui est arrivé avec ma crème glacée à la neige, à la vraie de vraie neige que j'avais réalisée une deuxième fois pour la Noël (mais que nous n'avons pas consommée puisque nous étions moins nombreux que prévu) et mon sucre à la crème à la caramilk que j'avais préparé pour le jour de l'an mais qui est demeuré mou. De ces deux desserts laissés pour comptes est né l'honorable sundae des grands jours ou plutôt des grands soirs car finalement nous l'avons dégusté lors d'une soirée de visionnement de films d'après fêtes (entre le jour de l'an et la fête des rois). Il a remplacé le pop corn et ne fut pas moins explosif pour autant si l'on s'en tient aux rires déclenchés. J'ai d'ailleurs menacé ma copine que je lui couperais le sucre pour un p'tit bout de temps... car sait-on jamais comme le dit si bien le dicton à peine judéo-chrétien: «grands rires, grands pleurs»?
Pour la crème glacée à la neige et la vraie de vraie neige (la neige, un ingrédient abondant au Québec cet hiver) la recette se trouve ici et pour le sucre à la crème à la caramilk voici la recette par ici . Vous serez maintenant en mesure de reconstituer ce dessert improvisé et drôlement bon!
2 commentaires:
¨mmmmmmiam! c'est très invitante!
Je suis tombée sur le popotin avec cette recette. Vivement qu'ilneige à nouveau! Tu devrais voir ce qui est arrivé à ma neige!
Ce dessert est effrayant! à la Ding et Dong, bien entendu!
Enregistrer un commentaire